Hammond avait la foi, les moyens, quelques lois intimes qu'il faisait rejaillir sur son parc, protégeant ses créatures plus encore que son propre fils, et même si tout déraillait, il avait fait de son mieux, Spielberg faisait la même chose avec les deux premiers volets qu'il a mis en scène.
Le pauvre Joe Johnson n'est pas Steven.
Un peu comme ces mecs qui te proposent de faire du parachute ascensionnel en longeant une île infestée de dinosaures. Johnson est à Spielberg, ce que ces mecs sont à Hammond. Un parasite.
L'impression désagréable d'avoir visionné des scènes coupées, avec un enfant Crusoé, un couple qui se rabiboche, une nana qui fait du cochon-pendu à la barbe de raptors furax, une volière avec de gros zozios, un vieux héros qu'on kidnappe et qui radote, et une bouteille de pisse de T-Rex.
Mais y'a des dinos, alors 4.
Djieke.
(Qui vole un œuf vole un bœuf)